TROISIÈME PARTIE
L’EXTERMINATION DES NATIONS PAÏENNES
par les Messagers du temps
LE PREMIER COMBAT ESCHATOLOGIQUE
(chapitre 19)
« Alors je vis le ciel ouvert, et voici un cheval blanc. Celui qui le monte s’appelle « Fidèle et Vrai ». Il juge et fait la guerre avec justice. Ses yeux ? Une flamme ardente. Sur la tête, plusieurs diadèmes. Inscrit sur lui ? Un nom qu’il est seul à connaître. Le manteau qui l’enveloppe est trempé de sang. Et son nom ? Le Verbe de Dieu. Les armées du ciel le suivaient sur des chevaux blancs, vêtues de lin d’une blancheur parfaite. De sa bouche sort une épée acérée pour en frapper les païens. C’est lui qui les mènera avec son sceptre de fer. C’est lui qui foule dans la cuve le vin de l’ardente colère de Dieu, le Maître de Tout. Un nom est inscrit sur son manteau et sur sa cuisse : Rois des rois et Seigneurs des seigneurs.
Puis je vis un ange, debout sur le soleil, crier d’une voix puissante à tous les oiseaux qui volent au zénith : « Venez ralliez le grand festin de Dieu ! Vous y avalerez chairs de rois et chairs de grands capitaines, et chairs de héros et chairs de chevaux avec leurs cavaliers, et chairs de toutes gens, libres et esclaves, petits et grands ! »
Je vis alors la Bête, avec les rois de la terre et leurs armées rassemblées pour engager le combat contre le Cavalier et son armée. Mais la Bête fut capturée avec le faux prophète – celui qui accomplit au service de la Bête des prodiges par lesquels il fourvoyait les gens ayant reçu la marque de la Bête et les adorateurs de son image -, on les jeta tout deux, vivants, dans l’étang de feu, de soufre embrasé. Tout le reste fut exterminé par l’épée du Cavalier, qui sort de sa bouche, et tous les oiseaux se repurent de leurs chairs. »
EXPLICATIONS :
Il s’agit toujours de la venue du nouveau cycle et de ses transformations. Le cavalier ressemble à de grande trace blanche dans le ciel. Peut-être lié au contact avec l’air de la terre. Ces yeux sont comme une flamme ardente. Il se peut que ce soit une comète, ou des météorites avançant en direction de la terre. Il s’agit bien des moments de la venue du nouveau cycle, puisqu’il dit : « le Maîtr e de Tout« , et « Rois des rois et Seigneurs des seigneurs« … Rien ne peut l’arrêter puisqu’il s’agit du mouvement de vie de l’Univers.
« Je vis alors la Bête, avec les rois de la terre et leurs armées rassemblées pour engager le combat contre le Cavalier et son armée. Mais la Bête fut capturée avec le faux prophète.«
Sur terre, il y a des mesures de prises contre l’attaque des astéroïdes, que Jean prend pour des cavaliers divins afin de punir les humains. Mais ce n’est là qu’une vision de l’esprit de l’époque de Jean. Il est vrai que cette catastrophe est grandiose. Il est d’ailleurs écrit : « … dans l’étang de feu, de soufre embrasé. » Ce qui correspond à des astéroïdes ou météorites qui tombent sur la terre, détruisant tout sur la terre, y compris la Bête et le faux prophète… De plus compte tenu de l’importance de la destruction, Jean voit là une punition.
LE RÈGNE DE MILLE ANNÉE
(chapitre 20)
« Puis je vis un ange descendre du ciel, ayant en main la clef de l’abîme, ainsi qu’une énorme chaîne. Il maîtrisa le Dragon, l’antique Serpent – c’est le diable, Satan – et l’enchaîna pour mille années. Il le jeta dans l’abîme, tira sur lui les verrous, apposa les scellés, afin qu’il cessât de fourvoyer les nations jusqu’à l’achèvement des mille années. Après quoi il doit être relâché pour un peu de temps.
Puis je vis les trônes sur lesquels ils s’assirent, et on leur remit le jugement, et aussi les âmes de ceux qui furent décapités pour le témoignage de Jésus et la Parole de Dieu, et tous ceux qui refusèrent d’adorer la Bête et son image, de se faire marquer sur le front ou sur la main. Ils reprirent vie et régnèrent avec le Christ pour mille années.
Les autres morts ne purent reprendre vie avant l’achèvement des mille années. C’est la première résurrection. Heureux et saint celui qui participe à la première résurrection ! La seconde mort n’a pas pouvoir sur eux, mais ils seront prêtres de Dieu et du Christ avec qui ils règneront mille années. »
Pas évidente cette partie, car elle fait appel a ce que nous ignorons. C’est donc de l’ordre du probable !!! En effet, suite à ces catastrophes pour le changement de cycle, les destructions ne laisseront pas grand-chose d’utilisable, d’où la disparition des dispositifs en place, comme les émetteurs, les radios, les télés, les bâtiments…. tout cela sera enfoui dans les décombres.
Nous pensons qu’il y aura des survivants qui essayeront de remettre en place certaines choses, avec le temps. Il semble que 1000 ans soient prévus, mais pourquoi seulement 1000 ans ? Nous pensons que la vie sur la terre que nous connaissons ne pourra vraiment être rétablie qu’au bout de cette période, ou correspondra à un effet résiduel des catastrophes dont la fin serait 1000 ans. Sans doute lié à la pollution et déchets toxiques laissés par les hommes et aux astéroïdes pouvant amener des virus ou toute autre chose !
« Après quoi il doit être relâché pour un peu de temps. »
Nous pensons que la vie ne sera pas possible même après ce délai, car il est écrit pour un peu de temps !!!
La suite du texte ne semble pas à sa place.
« Puis je vis les trônes sur lesquels ils s’assirent, et on leur remit le jugement, et aussi les âmes de ceux qui furent décapités pour le témoignage de Jésus et la Parole de Dieu, et tous ceux qui refusèrent d’adorer la Bête et son image, de se faire marquer sur le front ou sur la main. Ils reprirent vie et régnèrent avec le Christ pour mille années. »
À moins qu’il y ait une aide extérieure… Tout est possible ! La venue de sauvetage extra-terrestre… pourquoi pas ! N’oublions pas que ces humains rescapés seront sur terre dans la matière…. Il est écrit : ils reprirent vie, par conséquent ils seront soignés, et pourrons continuer à vivre jusqu’à ce que sur terre, les humains recommencent encore à vouloir imposer la puissance du pouvoir et de l’argent !!! Soit environ 1000 ans !
LE SECOND COMBAT ESCHATOLOGIQUE
« Les mille ans écoulés, Satan, relâché de sa prison, s’en ira séduire les nations des quatre coins de la terre, Gog et Magog, et les rassemblera pour la guerre, aussi nombreux que le sable de la mer. Ils montèrent sur toute l’étendu du pays, puis ils investirent le camp des saints, la Cité bien-aimée. Mais un feu descendit du ciel et les dévora.
Alors le diable, la séducteur, furent jeté dans l’étang de feu et de soufre, y rejoignant la Bête et le faux prophète, et leur supplice durera jour et nuit, pour les siècles des siècles. »
Ce deuxième combat au bout de mille ans, donc pas maintenant, mettra encore face à face les manipulateurs et les rebelles. Apparemment il y aura une nouvelle destruction venant d’un phénomène naturel, mettant fin aux problèmes !!! Mais nous le répétons, ce sera dans de nombreuses années… dernier soubresaut du cycle précédent.
LE JUGEMENT DES NATIONS
« Puis je vis un trône blanc, très grand, et Celui qui siège dessus. Le ciel et la terre s’enfuirent de devant sa face sans laisser de traces. Et je vis les morts, grands et petits, debout devant le trône. On ouvrit des livres, puis un autre livre, celui de la vie. Alors, les morts furent jugés d’après le contenu des livres, chacun selon ses œuvres.
Et la mer rendit les morts qu’elle gardait, la Mort et Hadès rendirent les morts qu’ils gardaient, et chacun fut jugé selon ses œuvres.
Alors la Mort et l’Hadès furent jetés dans l’étang de feu – c’est la seconde mort cet étang de feu – et celui qui ne se trouva pas inscrit dans le livre de vie, on le jeta dans l’étang de feu. »
Jean passe d’une vision à une autre. Il écrit : « Le ciel et la terre s’enfuirent. » Cette explication semble être liée aux convictions profondes de l’auteur, que ce soit Jean ou un autre. Le jugement est une notion religieuse chrétienne. Il est évident que l’Univers source de vie, passe par des étapes de croissance au même titre que dans notre corps, nos cellules, laissant derrière tout ce qui ne lui sert plus à rien. Nous en sommes les sous-matrices, recomposant à son image les mêmes principes et devenant matrice à notre tour. Le chaos est balayé par le renouvellement de nouvelles cellules conscientes de leur place dans l’édifice. La vie repart sur de nouvelles bases de transformations neuves, afin de perpétrer la vie, et nous en faisons partie.
Ce qui est détruit c’est de la matière inerte. C’est aussi la disparition des concepts et idéaux manipulatoires et le pouvoir. Pour nous, il n’y a pas de jugements au sens large du terme, mais un tri nécessaire à la poursuite de la vie. Chacun repart sur de nouvelles bases avec l’aide de l’univers. Seulement nous ignorons totalement comment cela se passera exactement. Une extrapolation dans le futur n’est toujours qu’une probabilité, pas une certitude. Elle est fonction des éléments intervenant dans la suite du présent afin de créer un probable. Tout est sujet à « variable ». Si dans notre corps une cellule est éliminée en 1 jour, pour l’univers cela prend 1000 ans… !!!
LA JÉRUSALEM FUTURE
(chapitre 21)
LA JÉRUSALEM CÉLESTE
« Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle car le premier ciel et la première terre ont disparu, et de mer il n’y en a plus. Et je vis la cité sainte, Jérusalem nouvelle qui descendait du ciel, de chez Dieu. Elle s’est faite belle, comme une jeune mariée parée pour son époux.
J’entendis alors une voix clamer, du trône : « Voici la demeure de Dieu avec les hommes. Il aura sa demeure avec eux. Ils seront sont peuple, et lui, Dieu avec eux, sera leur Dieu. Il essuiera toutes larmes de leurs yeux. De mort, il n’y en aura plus, de pleur, de cri et de peine, il n’y en aura plus, car l’ancien monde s’en est allé.
Alors celui qui siège sur le trône déclara : « Voici, je fais l’Univers nouveau« . Puis il ajouta : « Écris : Ces paroles sont certaines et vraies. C’en est fait, me dit-il encore, je suis l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la fin, celui qui a soif, moi, je lui donnerai de la source de vie gratuitement. Telle sera la part du vainqueur. Et je serai son Dieu, et lui sera mon fils. Mais les lâches, les renégats, les dépravés, les assassins, les impurs, les sorciers, les idolâtres, bref, tous les hommes de mensonge, leur lot se trouve dans l’étang brûlant de feu et de soufre : C’est la seconde mort. »
De cette vision nous avons retenu :
« Puis je vis un ciel nouveau, une terre nouvelle car le premier ciel et la première terre ont disparu, et de mer il n’y en a plus »
« Voici, je fais l’Univers nouveau »
« L’Alpha et l’Oméga, le Principe et la fin »
« L’ancien monde s’en est allé »
Jean dans cette description est très clair, il démontre que l’ancienne terre a disparu, et qu’il voit un ciel nouveau et une nouvelle terre. Tout est différent.
Puis il entend ce que nous soutenons comme thèse : que l’Univers est nouveau. Il s’agit donc bien de la Vie de l’Univers. C’est difficile pour des croyants d’imaginer un principe de Vie à la place d’un Dieu omnipotent, et souvent contradictoire. Il faut avoir peur pour croire, ce qui est un non sens !
De plus il entend dire : « Je suis l’Alpha et l’Oméga, le Principe et la Fin. »
Il s’agit donc bien là du processus de vie et de transformation de l’Univers, puisque celui-ci est le début et la fin, donc un principe de vie et sa fin. Quelque chose bien sûr se passe, il y a transformation dans notre système solaire, et peut-être dans d’autres systèmes solaires. La vie se transforme, mais comment ?
Curieusement nous avons découvert que la partie une et deux comportent des données à base de sept : les 7 églises, les 7 sceaux, les 7 trompettes, les 7 têtes (et 10 cornes), les 7 fléaux, les 7 collines, les 7 rois… soit :
-
Une matrice de 7 comme les 7 années de renouvellement des cellules dans le corps humains, 7 jours de la semaine, les 7 pétales de la rose. Le 7 était chez les Égyptiens, symbole de vie éternelle… etc. Sept serait aussi un passage du connu à l’inconnu.
LA JÉRUSALEM MESSIANIQUE
« Alors, l’un des sept anges aux sept coupes remplies des sept derniers fléaux, s’en vint me dire : « Viens, que je te montre la Fiancée, l’Épouse de l’Agneau. » Il me transporta donc en esprit sur une montagne de grande hauteur, et me montra la Cité Sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, de chez Dieu, avec elle la gloire de Dieu. Elle resplendit telle une pierre très précieuse, comme une pierre de jaspe cristallin. Elle est munie d’un rempart de grande hauteur pourvu de douze portes près desquelles il y a douze Anges et des noms inscrits, ceux des douze tribus des enfants d’Israël, à l’Orient, trois portes. Au nord, trois portes. Au midi, trois portes. À l’occident, trois portes. Le rempart de la ville repose sur douze assises portant chacun le nom des douze Apôtres de l’Agneau.
Celui qui me parlait tenait une mesure, un roseau d’or, pour mesurer la ville, ses portes et son rempart. Cette ville dessine un carré : sa longueur égale sa largeur. Il la mesura donc à l’aide du roseau, soit douze mille stades : longueur, largeur et hauteur sont égales. Puis il en mesura le rempart, soit cent quarante-quatre coudées.
L’Ange mesurait d’après une mesure humaine.
Ce rempart est construit en jaspe, et la ville est de l’or pur, comme du cristal bien pur. Les assises de son rempart sont rehaussées de pierreries de toute sorte : la première assise est de jaspe, la deuxième de saphir, la troisième de calcédoine, la quatrième d’émeraude, la cinquième de sardoine, la sixième de cornaline, la septième de chrysolite, la huitième de béryl, la neuvième de topaze, la dixième de chrysoprase, la onzième d’hyacinthe, la douzième d’améthyste. Et les douze portes sont douze perles, chaque porte formée d’une seule perle. Et la place de la ville est de l’or pur transparent comme du cristal. De temple, je n’en vis point en elle, c’est que le Seigneur, le Dieu Maître de tout, est son temple, ainsi que l’Agneau.
La ville peut se passer de l’éclat du soleil et de celui de la lune, car la gloire de Dieu l’a illuminée, et l’Agneau lui tient lieu de flambeau. Les nations marcheront à sa lumière, et les rois de la terre viendront lui porter leurs trésors. Ses portes resteront ouvertes le jour – car il n’y aura pas de nuit – et l’on viendra lui porter les trésors et le faste des nations. Rien de souillé n’y pourra pénétrer, ni ceux qui commettent l’abomination et le mal, mais seulement ceux qui sont inscrits dans le livre de vie de l’Agneau.
Dans ce passage de la Jérusalem Messianique, nous avons 7 fois 12 : Portes, anges, tribus, assises, apôtres, mille stades (soit 12 X 1000 et mille étant le symbole de multitude), perles, mais nous avons aussi cent quarante quatre coudées ou une matrice de 12 X 12.
Il semble donc que nous passons de la matrice 7 à la matrice 12 ou 7 X 12 = 84 et 8 + 4=12. Le douze est le nombre des divisions spatio-temporelles. Le dictionnaire des symboles nous dit : Il est le produit des quatre points cardinaux, par les trois plans du monde… 12 symbolise aussi l’Univers dans son déroulement spatio-temporel, et dans sa complexité… C’est aussi le nombre d’un accomplissement d’un cycle achevé.
Nous comprenons de ce fait que le changement de cycle obéissant à la Vie de l’Univers, va mener notre système solaire, qui se trouve actuellement âgé de 7 milliards d’année vers une autre forme de vie. Cela ne signifie pas la fin de notre système solaire, mais la transformation de celui-ci. La vie donnant la vie, nous avons comparé la transformation par le nouveau cycle au système de fécondation et de multiplication cellulaire.
Voir le site https://lesbeauxjardins.com/cours/botanique/2-cytologie/multiplication.htm
La multiplication cellulaire
La reproduction cellulaire est une caractéristique fondamentale au maintien de la vie et de son renouvellement car toute cellule ou tout organisme pluricellulaire ne vivent qu’un temps limité : leur mort surviendra après un temps plus ou moins long. Une cellule ou un organisme devront se reproduire afin d’assurer leur descendance c’est-à-dire, transmettre l’ensemble de leur matériel génétique.
Jean voit la splendeur du nouveau monde, et le décrit avec force détails. Ce nouveau cycle est bien sûr différent, comme un nouveau né, avec une autre façon de vivre. Mais cela n’a pas l’air de le surprendre. Dans cette description nous avons pensé que cette transformation du système solaire débouchant sur une forme de vie plus équilibrée, ressemble à un passage par multiplication de cellules, lorsque l’ovule est fécondé par division.
Le monde, donc le système solaire est évolutif, et passe par des phases de transformation, comme ce nouveau cycle après 25.000 ans. Ce que nous vivons est donc naturel, mais nous avons à le comprendre et l’accepter.
Par contre la fécondation se fait par une pénétration :
La fécondation correspond à la pénétration de l’ovocyte par un spermatozoïde et à l’union subséquente du noyau du spermatozoïde et du noyau de l’ovule pour former le zygote (œuf fécondé).
Ce qui expliquerait que le nouveau cycle, enfanté par l’univers, ait des sursauts, des changements, des bouleversements climatiques, par la vie qui pénètre dans le système solaire.
Ce que décrit Jean à l’échelon de l’infiniment grand ressemble à ce que vit l’ovule à l’échelon de l’infiniment petit (les 7 milliards d’années de la terre correspondent à la fécondation et la suite à la division des cellules). Il y a pénétration donc déchirure, pour obtenir 2 cellules, le présent et le passé. Ces cellules évolueront et se multiplieront afin d’atteindre la maturité souhaitée par l’univers, et pour la Vie qu’il désire. Les parties malades seront remplacées par la vie nouvelle qui pénètre le système solaire. Les codes du départ seront toujours là, c’est-à-dire nous et tout ce qui compose la vie sur la terre et le système solaire ou cellule, afin de se multiplier avec l’univers… à l’infini, d’y vivre et disparaître, mais tout en étant vivant dans les nouvelles cellules puisque codes de base !
Or un corps humain est composé de 6 milliards de cellules, comme l’humanité est composée de 6 milliards d’humains, ce qui nous laisse penser que l’humanité en gestation est arrivée à son terme, définissant ainsi le nombre de codes du système solaire. Par la multiplication des cellules, et par renouvellement de celles-ci les codes étant transmis automatiquement à l’égal du corps humain, nous pouvons dire qu’au niveau des êtres humains nous serions éternels, puisque passant par transformation de cellules en cellules.
En ce qui concerne les 1000 ans, cela s’expliquerait par le temps qu’il faut pour expulser la cellule non viable, et peut-être, nous le supposons, au temps de durée de vie des systèmes de clonage. En effet le clonage ayant une perte à chaque changement de clone, la durée de vie possible ne serait que de 1000 ans pour une vie éternelle dans la matière.
Nous constatons que le système solaire, à l’égale du corps humain ne peut contenir plus de 6 milliards environ d’être humains, faute quoi, il y aurait un basculement. C’est le cas en ce moment. Est-ce que le 666 ne serait pas : 6 milliards, 600 millions et 60 milles… humains !!!
Nous avons découvert aussi une chose curieuse nous donnant matière à réflexion :
Reproduction d’une pierre trouvée en Égypte
Cette pierre est représentée dans le livre : l’ÉGYPTE aux éditions du Verseau – nous n’avons plus les noms des auteurs qui étaient des archéologues allemands.
Elle représente la position des planètes, des constellations, et de leurs symboles, ainsi que les noms des apôtres et leur symbolique. Il y a aux quatre coins les symboles des solstices et équinoxes.
- L’équinoxe du printemps en bélier avec le taureau ailé, et St pierre.
- Le solstice d’été avec le cheval ailé en cancer, et Jean.
- L’équinoxe d’automne avec la vierge (ou ange ailé) et Philippe, en Balance.
- Le solstice d’hiver avec l’aigle, et Simon.
Vous remarquerez au centre le triangle, et 3 symboles d’architecte avec Jacques le majeur, Mathias, et Bartholomé.
Puis pour confirmer nos recherches vous pouvez trouver dans le site ci-dessous les explications des pierres de la Jérusalem messianique. Ceci prouve étonnamment que l’apocalypse de Jean représente le changement de cycle et non pas des phénomènes divins aux sens religieux du terme, mais au sens de l’Univers.
Nous signalons également et curieusement que les apôtres ayant approchés Jésus ont changés de nom, comme Pierre :
Voici les douze qu’il établit : Simon, qu’il nomma Pierre, Jacques fils de Zébédée, et Jean frère de Jacques, auxquels il donna le nom de Boanergès, qui signifie fils du tonnerre, André, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques fils d’Alphée, Thaddée, Simon le Cananite, et Judas Iscariote, celui qui livra Jésus. »- (Mc 3:13-19)
Est-ce pour correspondre à la pierre trouvée en Égypte, et datant de 2000 ans plus tôt ? Curieux n’est-ce pas ?
Nous avons pensé aussi que de ce fait, les noms des apôtres ou correspondance avec les constellations, étaient des noms de code…, et que chaque solstice ou équinoxe correspondait à ceux qui ont laissé des écrits par des évangiles ou des épitres. Jean pour le solstice d’été, Matthieu pour le solstice d’hiver, Pierre pour l’équinoxe de printemps…… il nous manque Philippe pour l’équinoxe d’automne !!!
(voir le site https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbolisme_des_pierres
Analogies et correspondances ; synesthésies
Pour saisir le symbolisme d’une pierre, il est souvent pertinent de noter les correspondances établies ou les synesthésies ressenties.
Pierres et astres, du moins ceux qui intéressent les astrologues. Selon les astrologues et les alchimistes, depuis la Mésopotamie, chaque planète est en corrélation avec une pierre. À partir de l’Apocalypse XX, les correspondances classiques avec les Signes du Zodiaque sont : jaspe/Bélier, saphir/Taureau, calcédoine/Gémeaux, émeraude/Cancer, sardoine/Lion, Cornaline/Vierge, chrysolithe/Balance, béryl/Scorpion, topaze/Sagittaire, chrysoprase/Capricorne, hyacinthe/Verseau, améthyste/Poisson.
Au chapitre 22
« Puis l’ange me montra le fleuve de vie, limpide comme du cristal, qui jaillissait du trône de Dieu et de l’Agneau. Au milieu de la place, de part et d’autre du fleuve, il y a des arbres de Vie qui fructifient douze fois, une fois chaque mois. Et leurs feuilles peuvent guérir les païens.
De malédiction, il n’y en aura plus, le trône de Dieu et de l’Agneau sera dressé dans la ville et les serviteurs de Dieu l’adoreront. Ils verront sa face, et son nom sera sur leur front. De nuit, il n’y en aura plus, ils se passeront de lampe ou de soleil pour éclairer, car le Seigneur Dieu répandra sur eux la lumière, et ils régneront pour les siècles des siècles. »
…/…
REMARQUE
Dans la bible de Jérusalem, et dans l’introduction de l’apocalypse de Jean il est écrit :
« …Les apocalypses eurent un grand succès dans certain milieux juifs (y compris les Esséniens de Qumrân) aux deux siècles qui précédèrent l’avènement du Christ. Préparé déjà par les visions de prophètes tels que Ézéchiel ou Zacharie, le genre apocalyptique s’épanoui dans l’œuvre de Daniel…
…Dans son état actuel, le texte de l’Apocalypse présente un certain nombre de doublets, de ruptures dans la suite des visions, de passages apparemment hors de contexte. Les commentateurs ont essayé d’expliquer ces anomalies de multiples façons : compilations de sources différentes, déplacement accidentel de certains passages ou chapitres, … etc. Parmi les explications possibles, nous proposons l’hypothèse suivante :
La partie proprement dite prophétique, Ap 4-22 serait composée de deux apocalypses distinctes écrites par le même auteur à des dates différentes, puis fondues en un seul texte par une autre main… »
CONCLUSION
Nous avons constaté en essayant de décrypter cette apocalypse, que l’ensemble de celle-ci, même si elle a été déplacée, correspond pour notre époque, et par superposition, à des évènements passés récemment ou probablement pour d’autres, à venir dans un futur proche. Curieux !
Nous avons donc pensé, en « épluchant » le texte, que de nombreuses matrices étaient évidentes, comme le 7 et le 12. De ce fait nous pensons que Jean de Patmos, connaissait le principe des symboles, et était un visionnaire influencé par les autres écrits d’Apocalypse. Ses visions très futuristes démontrent bien qu’il avait des visions, et qu’il était capable comme les plus grands visionnaires de se projeter dans le futur.
Nous avons constaté également, que si les différentes visions du futur correspondent à notre époque, le changement de cycle en étant le point de repère, il n’en est pas moins troublant que ces visions puissent être assimilées à des données religieuses. Tout est une question de forme, mais le fond reste le même. La vision est là, quelle histoire pouvons-nous y mettre ? Tout dépend de la Matrice…
Nous avons relevé, mis à part le fait que la fin de cycle soit la plus probante, que plus de 7 aspects de notre époque sont décrits dans cette apocalypse de Jean. Soit : Les tours du World Trade Center, la campagne de vaccination avec la pandémie, le G7, les chutes d’astéroïdes, les voyages dans l’espace, le faux prophète ou (TV), les catastrophes naturelles…
Le seul fait que plus de trois évènements puissent être assimilés à cette apocalypse, nous permet de dire, que notre analyse démontre, pour notre forme de matrice reposant sur nos recherches, que celle-ci est conforme à notre démonstration, et juste. Le fait d’avoir une base mathématique, permet de penser que d’autres matrices basées sur les mêmes principes de base soient également démontrables.
Nous pouvons dire également que notre matrice est celle qui correspond à des données matérielles, et en accord avec ce que nous vivons terrestrement.
Quant aux différentes matrices que nous pourrions découvrir, elles correspondent à des données de base pouvant reposer sur des paramètres différents.
Qu’est ce qu’une matrice, et comment peut-on les intégrer à un texte, ou à une époque ?
Pour cela il faut savoir que différentes matrices : de vie, d’idéologies, de structures matérielles, ou futuristes,… peuvent être prises en compte à partir du moment où nous avons les données de bases.
Par exemple : La femme qui met au monde un enfant est une matrice, son enfant femelle deviendra à son tour probablement une autre matrice. Les concepts et les idéologies et idéaux que les humains auront, deviendront à leur tour des matrices, soit de races, de religions, comportementales, culturelles, de travail, de guerre, spirituelles… Etc.
Dans ces matrices se distingueront les éléments majoritaires, dominants, actifs, positifs ou négatifs. De tous ces différents paramètres sortiront des matrices dominantes qui viendront éliminer les matrices dominées. Ce qui permet, même avec 2.000 ans d’avance de déterminer avec de faibles marges d’erreurs ce qui se passera dans le futur.
Dans tous modèles d’évolution, il y a des projections inévitables, liés à la qualité de l’humain dans sa façon la plus rationnelle de solutionner ses problèmes. Soit la majorité est dominatrice positive et tout se passe bien, ce qui était permis à cette humanité au départ (Voir le cheval blanc de l’ouverture des sceaux), soit celle-ci est négative, abusive de pouvoir et de domination, et la finalité devient négative et se situe dans la théorie du chaos, ce qui est le cas de notre humanité. Les minorités sont absorbées par des malades dominants, ne leur laissant pas le choix d’expression qu’il serait sage d’écouter.
La diversité donne une homogénéité, ou kaléidoscope pluraliste. L’uniformité conduit à la destruction et l’ennui (style Hitler, entre autre).
Nous ne pouvons pas changer le futur, il est prédéterminé en fonction des différentes matrices qui le composent. Dans cette apocalypse, la matrice de base 7 semble démontrer de façon logique, que la base 7 nous a conduit à notre présent. Par contre le futur semble basé sur la matrice 12, nous donnant l’espoir d’un changement plus en adéquation avec le changement de cycle.
Ce que nous pouvons dire, en finalité, c’est que la matrice religieuse n’a pas encore réalisé ses descriptions ou prédictions, et ne les démontre pas comme étant valables et en harmonie avec l’univers. Notre théorie basée sur le renouvellement de la vie dans l’Univers semble être par conséquent la plus réaliste et permet, sauf preuves contraires, de devenir la matrice de base de notre futur.
retrouver l’intégralite de cet article sur le site des messagers du temps : link
LES ARMES DE DIEU ET LES MATHÉMATIQUES(fermaton.over-blog.com)